Parce que ce n'est ni lui ni elle
Parce que ce n'est ni lui ni elle ni eux, simplement l'Amour et donc tout ce qui EST :
"Elle s’est battue si longtemps contre lui, contre elle, contre la connexion, contre le fait de l’aimer, contre tout et même contre l’amour.
Il était le visage du changement, de celui qui avait amené la tempête dans sa vie.
Il était le visage de la destruction et de celui qui réveil les peurs profondes qu’elle ne savait pas logée en son sein.
Elle était tiraillée entre aller vers lui et le fuir, sans se rendre contre qu’elle avait peur de prendre cette responsabilité de ce qu’est ÊTRE soi.
Elle se souvient de ces fois où la source venait vêtue du manteau de l’invisibilité et lui faisant ressentir ce qu’elle EST, elle courait prenant mes jambes à son cou.
Elle n’était pas prête, simplement pas prête à recevoir son essence préférant encore jouer la souffrance.
Peur d’être aimé, peur qu’il l’aime et qu’il lui dise ces mots que d’autres peuvent prononcer sans aucune saveur.
Que si son humanité s’y refuse, son âme est auprès d’elle jour et nuit puisque c’est la sienne également alors elle sait que la prise de conscience sera terrible.
Peur simplement peur que tout ceci ne soit que fantasme, illusion au risque de dévoiler sa folie certaine.
Mais tant pis elle se lance, elle se laisse tomber dans ce vide et elle laisse les commandes à celui qui l’a poursuit, à celui qu’elle a toujours fui tout en le désirant.
Mais vois tu, le temps, le temps qu’il lui a prit, lui est aujourd’hui rendue puisqu’il n’a jamais disparu.
C’est sa vision qui est mit à nue quand elle a accepté cette connexion et l’idée d’être aimé par un être humain.
Ou que peut être qu’il se débattait lui aussi avec cette connexion, cette possibilité d’aimer un être humain car avec eux qu’est ce que l’on souffre.
Entre les drames et les joies, il y a de quoi en perdre la tête n’est ce pas ?
Voilà il ne s’agit pas d’elle, il ne s’agit plus d’elle.
C’est une force qui a prit toute la place mais plus douce de la façon dont lui prend toute la place.
L’un est naturel tandis que l’autre s’impose, voulant conquérir.
Le choix fut facile, elle choisi la douceur et non la brute.
Elle avait choisi, ce n’était lui, ni elle, ni le eux mais l’amour.
Depuis le commencement, cela a toujours été que lui.
Ayant vu la supercherie, elle cessa de courir et se mit à danser en riant de l’illusion qui essayait toujours de l’a courtisé.
Oui elle aimait la brute, celui qui était maladroit et qui disait ce qu'elle voulait entendre avec ses yeux,
Mais elle aimait l’amour bien plus encore, elle n'avait plus peur de ce qu'elle EST et sera toujours.
Ainsi elle connu sa délivrance et sa magnificence."
L'Atelier de Grâce
Mes accompagnements : http://www.en-route-vers-soi.fr/
Ma Page Facebook : https://www.facebook.com/en.route.vers.soi/
Ma Chaîne Youtube : En Route vers Soi